Pour une écologie du lien chez vos libraires

@christeleperrot 2020

Écrire, écrire, écrire. Sans chercher à savoir pourquoi. Sur le lien. Mais pourquoi le lien ?

Peut-être m’a-t-il tant manqué, ce lien. Peut-être que je l’ai tant cherché, ce lien. Non pas celui qui attache, qui fait mal, et dont on ne réussit pas à se défaire. Pas non plus celui qui met sous emprise ou dépendance.

Celui qui nourrit. Qui relie. Qui agrandit. Qui rassemble.

Mon rêve de la nuit dernière : je suis sur le point d’accoucher. Je sens la tête du bébé dans le bas de mon ventre déjà bien engagé, prêt à sortir. Je cherche un lieu. Pour le mettre au monde.

« Il y a un autre monde mais il est dans celui-ci » Paul Eluard.

Extrait « Pour une écologie du lien ou l’art de cultiver la relation  » désormais disponible en version papier à commander ici ou dans vos librairies.

 

Liberté masquée – Pour une écologie du lien

Illustration de la Statue de la Liberté portant un masque. Science Photo Library via AFP

Mardi 14 avril 2020.

Vivre avec des masques ? !

Qu’en est-il de ma liberté d’« être humain » ?

De mon libre-arbitre ?

Jusqu’où accepter le « diktat » des autorités ?

 

Juste respirer et inspirer,

Librement.

Te regarder t’approcher, te sourire, te tendre la main, toi l’étranger,

Librement.

Te rencontrer, t’embrasser, te toucher, nous toucher, te visiter,

Librement.

 

Qu’avez-vous fait de notre terre ?

Qu’avons-nous fait de notre nature ?

Tristesse. Colère.

Colère. Tristesse.

 

Vivre avec des masques ? ! Continuer la lecture de Liberté masquée – Pour une écologie du lien

Pour une écologie du lien

« Au départ un confinement. Comme une invitation à rentrer chez soi, à rentrer en soi, mettre en lumière son intériorité. Un voyage que nous propose l’auteure en nous ouvrant son journal intime, qui au fil des jours et des saisons et de ses expériences de vie, vient nous interpeller. Pour une réflexion universelle sur le lien qui nous relie, à nous-même, aux autres, et à notre planète. Quelle est la nature du lien que nous entretenons avec notre famille, nos partenaires, notre activité professionnelle, nos ami.es, les autres ? Quel lien entretenons-nous avec notre nature, avec La Nature ? Selon l’auteure, l’état de notre planète est le reflet de ce que nous sommes, de nos terres intérieures : une société de consommation sans fin, qui trouve aujourd’hui ses limites.
Une écologie du lien pour mieux repenser, reconstruire, et cultiver la relation. Une écologie intérieure pour une écologie du monde, avec comme conviction que c’est en restaurant le lien avec La Nature que l’être humain pourra la réhabiliter et ainsi recouvrer le lien avec sa propre nature, celle d’être vivant « humain ». »

J’ai l’immense joie de vous annoncer la mise au monde de mon dernier né, en version digitale dans un premier temps, en attendant la version papier à venir.

C’est chez Librinova en cliquant ici  ; Et dans toutes vos librairies digitales.


Design&Illustration Inger Lorsignol.

Prendre soin de son écologie intérieure

« Pour faire la paix avec vous-mêmes, avec autrui et avec la nature, commencez par vous interroger sur votre activité professionnelle, sur votre vie quotidienne et sur votre façon de vivre. Quelle sorte de métier exercez-vous ? Il s’agit là d’une question essentielle : nos choix de vie révèlent l’harmonie ou l’absence d’harmonie qui caractérise notre rapport au monde. Difficile d’être en paix avec vous-même et avec ceux qui vous entourent si votre travail vous conduit à polluer la nature ! Mais combien d’entre nous ont choisi un métier absolument inoffensif pour l’environnement ? Combien d’entre nous l’exercent avec joie ? Combien se sentent comblés et satisfaits au plus profond de leur âme par leur activité professionnelle ? (…)

Nous vivons pour payer nos factures : y-a-t-il pire manière de gâcher sa vie ? »

Extrait « Pour une écologie spirituelle » de Satish Kumar, Editions Belfond.

Photo @ChristèlePerrot 2019

Au Festival d’Avignon #1

Voici l’édition du texte du spectacle « Réussir son Born Out », une édition spéciale à l’occasion du Festival d’Avignon. Pour celles et ceux qui ont envie de prendre le temps de le relire. En ligne ici sur Librinova, version papier ou ebook, avec également la possibilité de le commander chez vos libraires.

Photo Julien Ginoux

 

Equi-vies sur Librinova

Je suis très heureuse de vous annoncer que mon livre Equi-vies est désormais en ligne et disponible à l’achat en version papier et e-book sur LIBRINOVA. J’ai enfin trouvé une librairie en ligne située à Paris, avec des « vrais gens » charmants qui décrochent le téléphone quand on les appelle, et à qui je peux écrire par mail et parler. Et… qui imprime les livres dans le Nord de la France ! C’est formidable ! Je les soutiens pour combattre ce géant amazon. Il est également possible de le commander chez le libraire qui pourra le commander pour ceux qui souhaitent aussi continuer à soutenir nos chers libraires locaux. #acheterseslivresenlibrairie #stopamazon

Pour le commander c’est ici ! 

Gratitude

« Vous êtes vous déjà demandé combien de fois dans votre vie vous aviez réellement dit merci ? Un vrai merci. L’expression de votre gratitude, de votre reconnaissance, de votre dette.

À qui ?

On croit toujours qu’on a le temps de dire les choses, et puis soudain c’est trop tard. »

Les gratitudes – Delphine de Vigan Éditions JC Lattès- Mars 2019

« Réussir son Born out » salué par CADREMPLOI

Merci merci Sylvia Di Pasquale pour ce très bel article, si juste dans ce que j’ai envie de partager et de transmettre.

A lire en cliquant sur le lien ci-dessous :

Sylvia Di Pasquale

15/03/2019

Elle a fait un burn-out sévère mais s’en est sortie. Seule en scène dans sa petite robe rouge, Christèle Perrot raconte non sans gaieté comment son syndrome d’épuisement professionnel s’est transformé en dépression pour renaître en changement de vie libératoire. Comment son « burn-out » est devenu « born-out ». Nous l’avons rencontrée.

 

Prochaines dates « Réussir son Born out » du 5 au 28 Juillet 2019 – Tous les jours 15 heures – Théâtre de l’Observance – 10 rue de l’Observance 84 000 Avignon – Festival OFF d’Avignon 2019.

« Réussir son Born out » salué par 20 minutes

Magnifique article ! Ecrit par Oihana Gabriel, à lire ici dans « 20 minutes »

qui annonce également la prochaine date pour « Réussir son BORN OUT »,

Samedi 16 mars 2019, 20 heures à l’Apollo Théâtre ! »

Penser notre animalité

« Hommage à Voltaire ! »

Ce sont les philosophes Grecs et surtout Aristote qui a défini l’homme comme « un animal pensant ». Pour le différencier de l’animal. Et sans doute avons-nous vite oublié « animal » pour nous concentrer sur « pensant ». C’est ainsi qu’aujourd’hui, j’ai à coeur de rendre hommage  à Voltaire, celui qui a été pour moi le premier « maître » à me conduire vers ma nature « animale ». Du latin « anima » (Souffle, âme). De ce qui m’anime, me met en vie. 

Pendant plusieurs années j’ai résisté à une demande familiale, avoir un chien. Quelle idée ! J’avais déjà 3 enfants, c’était bien assez non ?! Et puis voilà qu’en changeant de vie professionnelle, de la banque aux relations humaines… J’ai lâché… et Voltaire est arrivé l’année du V ! Un magnifique Golden Retriever aussitôt aimé, à peine nos regards se sont-ils croisés. Et pourtant, pendant de nombreuses années, je n’y voyais que les contraintes, des crottes à ramasser, des gardes à organiser, des dépenses de nourriture et de vétérinaire, des poils partout et des pattes sales à nettoyer…et pour au moins 15 ans ! Bref, ce n’était pas pour moi. D’autant plus que je portais un regard plutôt critique sur les maîtres gâteux de leurs animaux, dont je ne comprenais pas comment ils pouvaient nourrir des sentiments aussi forts à l’égard de leurs bêtes, qui n’étaient pour moi que bêtes ! Et dont je ne supportais pas non plus de marcher sur des trottoirs salis par leurs excréments non ramassés par des maîtres que je jugeais alors tout aussi bêtes que leurs bêtes ! Le chien n’avait pas sa place en ville, le chien n’avait pas de place dans mon foyer, même si à l’époque j’avais un jardin. Et je préférais satisfaire la demande d’animal de mes enfants par des poissons rouges…qui mourraient régulièrement, et dont il était assez facile de se débarrasser en tirant la chasse d’eau ! Continuer la lecture de Penser notre animalité